Solenn

Publié le 15 Mars 2021

Différents indices témoignent d'une façon novatrice de faire de la poésie :

  • La présence d'engins modernes comme les avions page 11 : «  Beluga XL », « Airbus A350 XWB »
  • Il y a des dialogues entre Daniel et Jean-Paul comme aux pages 13 ou 16. Florence Jou crée alors un nouveau cadre.

  • Les textes ne sont plus en vers, mais en prose : on voit de longs passages qui sont comme des paragraphes. On le voit notamment page 44.

  • Il y a également des définitions comme "Régénératif" ou "Symbiotique" (page 42), "Centre d'art météorologique"( page 43)...

  • Nous ne retrouvons pas de procédés propres à la poésie, comme les vers, les rimes... Il s'agit d'une écriture libre. Florence Jou utilise la liberté du langage.

  • Enfin elle emploie un lexique inattendu avec des mots tels que « Baragouine », « anglons », « slidons »... Ce sont des mots peu communs et je ne suis pas sûre qu'ils existent tous.

Rédigé par Lettres

Publié dans #Printemps des poètes 2021 - Florence Jou

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