NAP - Le chant des signes (Damien)
Publié le 29 Avril 2010
Quand le chanteur revient au présent, on apprend qu’il y a plein de monde autour de lui mais qu’au fond, il est seul. De la même manière dans le roman, Brodeck est seul dans la resserre à écrire. «Tout autour, il y a les autres.»
Dans le refrain, « le ciel s’obscurcit », « on attend la fin du monde ». A la fin du roman, on retrouve bien ces éléments. Brodeck et Göbbler rejoignent l’auberge. Il est question d’«air poisseux et lourd», d'«obscurité».
Enfin, dans le dernier couplet, la chanteuse voudrait mieux vivre mais comme elle n’est «pas d’ici», elle préfère «quitter les lieux». A la fin du roman, Brodeck fait de même. Il quitte un village dont il n’est pas originaire.
Dans le refrain, « le ciel s’obscurcit », « on attend la fin du monde ». A la fin du roman, on retrouve bien ces éléments. Brodeck et Göbbler rejoignent l’auberge. Il est question d’«air poisseux et lourd», d'«obscurité».
Enfin, dans le dernier couplet, la chanteuse voudrait mieux vivre mais comme elle n’est «pas d’ici», elle préfère «quitter les lieux». A la fin du roman, Brodeck fait de même. Il quitte un village dont il n’est pas originaire.
Il y a aussi une allusion à la mort. On pourrait penser qu’elle voudrait rejoindre le ciel. Brodeck, dans le roman, hésite aussi à rejoindre son ami Kelmar.