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Publié le 7 Mai 2017

On tire au hasard :

- le poème 17 pour le sujet (pronoms personnels exclus)

- le poème 9 pour l’adjectif

- le poème 4 pour le verbe

- Le poème 10 pour le complément

Après avoir recensé les sujets, adjectifs, verbes et compléments de chaque poème, on les tire une nouvelle fois au hasard pour obtenir :

Une phrase utile nettoie l’horreur.

Emmanuel, 1S2

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Rédigé par Emmanuel, 1S2

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Publié le 6 Mai 2017

Rangements éclatés pour une famille.                                                                                       Cheval de bataille, perdu d'av...                                                                                                   Anse de seau. Eau claire. So clear !                 

Il est vrai que pendant longtemps                                                                                                 Nous savions peu de chose

Gwendal, 1S2

 

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Rédigé par Gwendal

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Publié le 6 Mai 2017

Crème lavante lavande.

La vente, en vent(s), en viande

en viande dans cette salle.

 

Peaux sensibles, 100 cibles

ciblaient les sans cible.

Pour la beauté des deux mains.

 

Ô matin. En aucun cas

cette chaîne ne doit être brisée.

LAURA 1S2

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Rédigé par laura

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Publié le 6 Mai 2017

J'ai très vite eu le sentiment que ce recueil retraçait l'histoire d'un couple, d'un ménage.

Pour commencer, dans le premier poème, on nous parle de « deux vaisselles », ce qui laisse penser à l'histoire d’un couple.

Dans le second poème, on peut imaginer de la sensualité avec l'expression « Peaux sensibles», dans le troisième on peut imaginer des compromis, avec les termes « neutralité pour la paix », et dans le septième, l'homme quitte le foyer : « fermeture définitive du rayon Homme. ». Du huitième au onzième poème, le couple est séparé et la femme passe par les différentes étapes d'une rupture. (Poèmes 8 et 9: occupation pour penser à autre chose. Poème 10 :  ressasse la séparation. Poème 11 : souhaite réconciliation, manque)

Dans le douzième poème, le couple se remet ensemble, mais sur des bases fragiles : « perdu d'av... » ces trois petits points donnent l'impression que les deux personnes ne veulent pas s'avouer que out est voué à l'échec. 

Quand on lit le treizième poème, avec le mot « linéaire », on a l'impression, que le couple est déjà rentré dans un « train-train quotidien », qu'ils s'ennuient

Dans le poème suivant, le ménage s'embourgeoise, s'incruste dans un processus de surconsommation.

L'ambiance devient ensuite plus tendue dans le quinzième poème, on a l'impression que les membres du couple ressentent de l'agacement l'un envers l'autre avec la répétition du terme « lacéré ».

Idem dans le poème suivant : la situation s'enfonce, mais on essaye encore d'améliorer la situation. (les mots « durcissement » et « brunissement »)

Avec le poème numéro 17, on sent qu'il n'y a plus d'entente possible : « en phase terminale d'emphase ».

Dans le poème suivant, on sent une touche de désespoir, comme une ultime tentative : « le doigt appuie sur, le contenant vide. » Il n'y a plus de produit, plus de matière, mas on essaye toujours.

Avec le poème 19, c'est comme une banalisation des tensions, on s'habitue à l'atmosphère tendue : « temps qui coule. » Le temps fait qu'on s'habitue.

Dans le dernier poème, on compare la qualité de son propre couple à celle de des autres, et c'est la normalité, beaucoup de couples sont dans cette situation. « Comparez la qualité des tas. »

J'interprète donc ce poème comme la description de la vie d'un ménage, ses tensions.

Elisa T - 1L

 

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Rédigé par Lettres

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Publié le 6 Mai 2017

Chanson de Boby Lapointe

"Ce soir au bar de la gare
Igor hagard est noir
Il n'arrête guère de boire
Car sa Katia, sa jolie Katia
Vient de le quitter
Sa Katie l'a quitté
Il a fait chou-blanc
Ce grand-duc avec ses trucs
Ses astuces, ses ruses de Russe blanc
Ma tactique était toc
Dit Igor qui s'endort
Ivre mort au comptoir du bar
Un Russe blanc qui est noir
Quel bizarre hasard ! Se marrent
Les fêtards paillards du bar
Car encore Igor y dort
Mais près d’son oreille
Merveille ! Un réveil vermeil
Lui prodigue des conseils
Pendant son sommeil
Tic-tac tic-tac
Ta Katie t'a quitté
Tic-tac tic-tac
Ta Katie t'a quitté
Tic-tac tic-tac
T'es cocu, qu'attends-tu?
Cuite-toi, t'es cocu
T'as qu'à, t'as qu'à t' cuiter
Et quitter ton quartier
Ta Katie t'a quitté
Ta tactique était toc
Ta tactique était toc
Ta Katie t'a quitté
Ote ta toque et troque
Ton tricot tout crotté
Et ta croûte au couteau
Qu'on t'a tant attaqué
Contre un tacot coté
Quatre écus tout comptés
Et quitte ton quartier
Ta Katie t'a quitté
Ta Katie t'a quitté
Ta Katie t'a quitté
Ta Katie t'a quitté
Tout à côté
Des catins décaties
Taquinaient un cocker coquin
Et d'étiques coquettes
Tout en tricotant
Caquetaient et discutaient et critiquaient
Un comte toqué
Qui comptait en tiquant
Tout un tas de tickets de quai
Quand tout à coup
Tic-tac-tic driing!
Au matin quel réveil
Mâtin quel réveille-matin
S'écrie le Russe, blanc de peur
Pour une sonnerie
C'est une belle sonnerie!"

 

J’ai choisi de mettre cette musique en relation avec le recueil de poèmes de Nicolas Tardi.

En effet ils possèdent tous les deux de nombreux points communs.

Par exemple dans la musique de Boby Lapointe, il commence sa chanson sur une assonance en A « Ce soir au bar de la gare
Igor hagard est noir Il n'arrête guère de boire »

Et Nicolas Tardi « & Mir à beau, couler à flot, pour se mirer la peau…Linéaire !? C’est linéaire à partir de, quand jusqu’à quand ? » fait une assonance en i.

Dans la chanson, le chanteur fait des répétitions de mots « Ta tactique était toc Ta tactique était toc »

Et dans le dernier poème de Tardi « Rien, rien, rien. Trois fois, rien »

On distingue aussi de nombreux homophones. Dans la chanson de Boby Lapointe « Au matin quel réveil Mâtin quel réveille-matin ». Et dans le 4ème poème de Nicolas Tardi « Terrien t’es rien. »

On distingue aussi des calembours dans les deux textes « Né ne Nait pas » (Nicolas Tardi, 10eme poème, vers 1), « Merveille ! Un réveil vermeil » (Boby Lapointe, ligne 18)

Tous ces nombreux procédés donnent du rythme, de la musicalité, de la vitesse aux deux textes, et un côté humoristique.

Malgré la tristesse de l’histoire dans la chanson et la Banalité d’une étiquette d’un produit ménager, tous les deux réussissent à rendre leurs œuvres drôles et poétiques grâces aux jeux de sonorités.

Gaëlle – 1L

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Rédigé par Lettres

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Publié le 6 Mai 2017

 

Camille B - 1 L

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Rédigé par Lettres

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Publié le 6 Mai 2017

« L’impossibilité de résister au besoin de consommer. L’accroissement d’une tension interne. D’une anxiété avant, la consommation. Le soulagement ressenti lors de, la consommation. Le sentiment de perte de contrôle de soi pendant, la consommation. Une tournée d’inspection s’im… Pause ! Re re re play.  Les messages des rats, dits hauts, sont, sonnent comme : des plaies, des déplaisirs. L’impossibilité de résister au besoin de consumer. »

Lady Supermarket Duane Hanson,1969

 Je pense que ce poème parle de la société de consommation. On retrouve des mots de la même famille que consommer tout au long du poème. Le mot « consommation » apparait lui 3 fois dans le texte. On pourrait même croire que cet acte déboussole le consommateur : le poète parle d’anxiété, de sentir une « perte de contrôle de soi ». « Re re re play. » appuie peut-être le fait que cette société de consommation amène à acheter sans arrêt d’où le terme « re » utiliser plusieurs fois. Cela peut être en accord avec un autre passage du recueil : «  Ayez des objets en double en triple ou même plus » Une phrase à particulièrement attiré mon attention pour m’aider à interpréter de quel côté se trouve le poète, et il me semble que celui-ci est contre la société de consommation : « L’impossibilité de résister au besoin de consumer. » ici, le jeu de mot entre consommer  et « consumer ». Il me semble alors que l’utilisation de ce dernier appuyé le fait que consommer amène à consumer.

Maya – 1L

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Rédigé par Lettres

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Publié le 6 Mai 2017

A travers ce dessin j’ai voulu faire passer le message du poème que j’ai compris.

Tout d’abord, j’ai personnifié la terre afin de faire comprendre que la terre a besoin d’être bien traité comme les humains. C’est pour cela, nous humains, nous devons la respecter et cela passe par l’usage des produits ménagers. En effet, nous devons limité au maximum notre usage de produits dangereux pour l’environnement. Comme le dit Tardy, « nettoie délicatement tout en respectant ». Donc ici, la plume rose est symbole de la douceur, et la phrase « Produit pour peau sensible » fait allusion au soin de beauté qu’on s’applique sur la peau. Ceci fait le parallèle aux produits ménager qui doivent respecter la « peau » l.3 de la terre.

Enfin, il faut que les humains et la terre soient en « paix » l.1, c’est pour cela que la terre ici fait le signe V qui peut porté la signification de la paix.

Laetitia – 1L

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Publié le 6 Mai 2017

 


Cendrillon, Disney, 1950

Dès que j'ai commencé à lire le recueil de poèmes de Nicolas Tardy, j'ai tout de suite pensé à Cendrillon, que ce soit dans la version originale de Charles Perrault ou dans celle de Disney. Dans plusieurs passages du film de Disney, on peut voir Cendrillon laver le sol avec un chiffon ou un balai, ranger les vêtements laissés par ses demi-sœurs et sa marâtre. Des parties de certains poèmes décrivent parfaitement ces situations, par exemple «Dégraisse à fond », « Ranger » ou encore « Chiffon fond fond. ». On peut aussi noter une certaine musicalité dans ce dernier vers qui rappelle les chansons que les princesses de Disney chantent pour évoquer une situation. Dans un passage du dessin animé, Cendrillon lave le sol en chantant, rappelant le vers de Tardy : « Chant de la lavante ».

Théa – 1L

 

 

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Rédigé par Lettres

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Publié le 6 Mai 2017

 

« L’impossibilité de résister au besoin de consommer. L’accroissement d’une tension interne. D’une anxiété avant, la consommation. Le soulagement ressenti lors de, la consommation. Le sentiment de perte de contrôle de soi pendant, la consommation. Une tournée d’inspection s’im… Pause ! Re re re play.  Les messages des rats, dits hauts, sont, sonnent comme : des plaies, des déplaisirs. L’impossibilité de résister au besoin de consumer. »

 

Dans ce texte, l'auteur cherche à montrer les difficultés que l'on peut ressentir à se priver de quelque chose que l'on apprécie. La sensation décrite peut se rattacher aussi bien à une consommation abusive d'une chose aussi futile que le chocolat, par exemple, qu'à celle de drogues, puisque, finalement, le «soulagement» et «le sentiment de perte de contrôle» mis en avant peuvent s'avérer identiques dans les deux cas. Au bout d'un moment, on perçoit même la volonté que le narrateur (ou le lecteur ?) a de s'arrêter, notamment avec l'utilisation du jeu de mots «s'im... Pause !» qui traduit un arrêt net de l'action. Toutefois, la dernière phrase nous indique que ce dernier finit, à chaque fois, par céder à la tentation et au plaisir qu'elle lui procure. L'homonymie de «consommer» et de «consumer» permet de lier un parallèle entre les deux termes. Ainsi, la consommation entraîne la ''combustion'' de l'être, tant l'émotion ressentie est puissante.

Louise – 1L

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Rédigé par Lettres

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