Publié le 12 Novembre 2009
Mouloud 2G
Lire, dire, écrire et publier en classe de français
Publié le 12 Novembre 2009
Publié le 31 Mai 2008
Dans le cadre d’un projet Karta financé par la région Bretagne et le lycée de l’Elorn, les élèves de 2A et de 2B ont travaillé sur le livre et la création littéraire contemporaine.
Dans cette perspective, ils ont rencontré un certain nombre d’acteurs du monde de l’édition et des bibliothèques : invitation à la bibliothèque d’étude de Brest où ils ont été reçus par le conservateur, M. Le Tocquer, et visite de l’imprimerie éditoriale Cloître à Saint Thonan.
Ils ont aussi participé au projet Voix d’aujourd’hui organisé par le CDDP de Brest. Ils ont rencontré le poète Linda Maria Baros dont ils ont lu le recueil La Maison en lame de rasoir.
A leur tour, ils se sont lancés dans la création poétique et plastique autour du thème de la maison, qu’ils ont évoqué en l’associant à une matière de leur choix. Les travaux ici présentés sont le fruit de plusieurs réécritures.
Ma maison en terre
Ma maison me rappelle les odeurs épicées et fruitées de mon pays,
Elle vit dans un fouillis constant, mais les gens paraissent contents.
Autour de ma maison s'érigent les barrières où règne le malheur.
Ma maison est un refuge d'argile.
A l'aube, on pourrait croire qu'elle a disparu
Et au crépuscule on dirait qu'elle s'est enfuie.
Quand on s'y promène, c'est comme si on se promenait dans mon cœur :
Il y a des larmes, des cris, mais aussi des sourires.
Elle est comme le ciel, imprévisible et mystérieuse.
Elle est aussi magique que n'importe quelle étoile,
Elle brille, réchauffe et fait rêver ses habitants,
Elle est étrange et passionnante à la fois,
Ma maison est comme un être humain :
Elle n'a pas choisi ses origines ses couleurs ni sa culture ;
Elle peut-être noire ou blanche, sucrée ou salée,
Mais ce que je sais, c'est qu'elle est en Terre d'Afrique
Mathilde - 2B
C’est l’endroit que tu préfères,
n’est-ce pas ?
Bonbonnière aux murs couleur chocolat
semblable au paradis
paix et tranquillité
tu t’y réfugies
afin de rendre tes armes
dans ta chambre couleur
parme.
Tu sors, tu t’aères.
tu la quittes pour aller mieux
elle n’est pas rancunière
la petite pièce
bleue.
La porte sera toujours ouverte
Sans goût amer d’abandon
Tu ne la laisseras pas tomber
tant que ses fenêtres vertes
éclaireront tes journées
tu la nourriras de bonheur
et d’amitié.
Manteau cousu de mille couleurs
ensoleillées
Arc-en-ciel de toute enfance
Aujourd’hui tu es grand
tu as mué.
Au fond de toi tu le sais
Tu useras de dizaines de ruses
Juste pour vérifier qu’au fils des années
Ton refuge ne s’est pas envolé
Laissant une place vide
et froide.
Agathe 2nde A
La maison de glace
La maison glacée a beau être inoffensive,
Des stalactites sont prêts à vous tomber dessus.
Ici un lance-flamme serait utile,
Mais faut-il prendre le risque de se brûler les mains ?
La maison de glace risquerait de fondre,
Laissant sa place à une flaque d’eau.
La maison de glace me fait froid dans le dos.
On y raconte certain mythe,
Dans lequel une jeune femme serait morte de chaud.
Dans cette maison, les souliers doivent être des patins,
Pour que vous puissiez glisser dans un bonheur enfantin.
- Pourtant la maison de glace est une pure merveille,
Elle est comme un vol de chouette sous le taillis au crépuscule.
Il y fait tellement froid que du coton tombe des murs,
Pour me recouvrir d’un fin bandage.
La maison de glace est toujours ouverte.
Malgré le froid elle me réchauffe le cœur,
Vous y serez toujours le bienvenu.
J’ai dû utiliser le lance-flamme,
Ma maison de glace a eu chaud.
Elle est devenue eau.
Maxime - 2B
La maison de cendre
La maison de cendre n’est pas un lieu de bonheur,
mais un lieu de peur,
idéale pour les menteurs,
idéale pour les voleurs.
La maison de cendre n’est pas un palais ;
seigneurs et paladins
n’y vont pas pour s’incliner,
mais plutôt pour s’y brûler.
La maison de cendre n’est pas en or,
elle représente la mort.
Au moindre signe d’imprudence,
les diables avancent en dansant.
La maison de cendre est le lieu d’une épreuve,
et aussi un endroit de souffrance
dans une ambiance
de décadence.
La maison de cendre, on la craint :
on y entre
comme dans un antre
et là tout devient incertain.
La maison de cendre est un gouffre,
c’est un lieu insondable,
où le diable t’attend,
au plus profond des enfers.
Fabien – 2B
La maison aux fougères enfouies
Etirés dans ces fougères humides
Quelques brins d’herbes rigides
Ou plutôt transgéniques
Laissent entrevoir un muscle bâti de briques...
Rendant ma raison élastique...
Te souviens-tu de ce battement tragique ?
Un vent fugace chasse l’odeur âcre des pâquerettes
Je t’arroserai d’onomatopées fleuries !
Laissant exploser ma jalousie...
Tous ces mots empilés devant ton nez
Comme autant de branches cassées...
Les coquelicots délaissés
Se transforment en sang séché...
Le temps coule et toutes les choses te frappent Emilie 2nde A
La maison de roche mortuaire
La maison est bâtie en marbre de nuit .
Sur la porte est enfoncée une scie
D'où le sang coule,
Comme les larmes sur ma joue.
C'est une maison qui respire la douleur,
Insufflée par le silence nocturne.
En un battement de cils,
La mort pénètre ton âme.
Signer un bail pour cette maison de la nuit
C’est vendre son âme au Diable.
Les murs sont tapissés des signes de la mort,
Ils te transpercent avec les pieux du désespoir.
La porte se ferme sur tes larmes.
Les fenêtres sont closes comme mon cœur,
Refermé avec la clé du malheur.
Johnny - 2B
Publié le 31 Mai 2008
La maison en éclats de verre
La maison faite d’éclats de verre,
Est entourée d’un halo qui luit.
Les carreaux tranchants sur les murs
Limpides forment un collage confus.
Ils ne rendent pas plus fragile
La cage de cristal où la raillerie résonne.
Une voix carillonne, piquante, agressive, mordante :
Piquante comme une brûlure froide,
Agressive comme le râle d’un fauve,
Mordante comme des crocs ensanglantés.
Un spectre qui glace le cœur et les entrailles,
S’échappe du lointain pour déguster,
Sa vengeance exquise dans cet univers fragile.
La colère de la tempête s’amasse
Sur le toit plat et calme.
Déverse son flot de larmes,
Sur le plancher qui givre.
Sa froideur nous transporte
Dans un abîme délicat et faible.
Le silence parle avec la porte,
Tandis que le mépris traverse les fenêtres...
La maison de là-bas
Croit-on qu’il existe pareille maison ?
Elle est tout en bois de haut en bas.
Sa grande cheminée, habitée par des araignées,
Indique que personne n’y a séjourné depuis des années.
Un vieux tapis piétiné est à l’entrée.
Au mur, près d’un petit cabinet, sont accrochées des pagaies.
De petits cageots posés sur les lumières créent
Un chaleureux rayonnement très particulier.
Des livres reposent sur le plancher,
Tombés des étagères surchargées.
Au mur, des toiles sont accrochées
Attisant notre curiosité.
Au premier regard, elle attire
Et ne donne plus envie de partir.
On voudrait y vivre et y vieillir
En évitant les pleurs et en espérant les rires.
Gwenn – 2B
La maison de plume
Temps favori, il fait froid
Souris avec lacune.
Un monde neuroleptique
Où les autres sont pris...
Pleure en silence,
Enferme-toi
Dans tes joues rosées
Glisse dans les méandres
De ton âme...
Un cri, le dernier,
Tu blêmis,
Quitte ton lit douillet
Pour affronter ton
Ignoble folie
Tu t’évades,
Les lèvres closes,
Tu déglutis et,
Fond dans ta gorge
La pilule...
Les yeux clos,
Un éclair de douleur fuse,
Puis te transperce,
Douillette, sa douceur
T’a enveloppée
Et ton cri retentit
Une plume t’effleure,
Tu t’es tue,
Fatigue, silence, comme tétanisée,
Organes ankylosés. Hélène - 2A
La maison de feu
La maison en copeaux de verre
La maison aux enluminures légères
Eclairée d’un soupçon de douceur
Donne naissance à des sourires tendres et joyeux
Comme sous le frémissement d’une caresse…
La maison en copeaux de verre
Nous blesse de ses éclats tranchants
Nous heurte de sa maladresse
Jusqu’à nous atteindre au plus profond de nous-mêmes…
La maison aussi silencieuse
Qu’une jeune fille rêveuse
Nous apaise de sa douce musique
Et nous berce dans notre solitude…
Dans cette maison translucide
On peut observer la pâleur
Des murs peints de glace.
On est libre de s’en évader…
Carole – 2B
La maison en perles d’eau
Ruisselant le long du couloir
Tu échappes aux âmes errantes
Elles veulent te liquider
Mais ne peuvent t’attraper
Tu te glisses dans une flaque de larmes
Et tu roules telle une goutte d’eau en boule
T’évadant le long de l’escalier
Tu plonges d’un côté et de l’autre
De cette cascade enchantée
Tu coules sur la rambarde
De ses marches protégées Fanny
Tu atterris telle une perle dans une flaque d’eau 2nde A
Publié le 31 Mai 2008
La maison en soi
Une porte ouverte et des volets clos
des bras tranquilles et confortables,
ronde nocturne à la lueur des flammes,
ver luisant dans l’obscurité...
Un rocher dans la tempête,
un écran de velours,
un nid d’oiseau de nuit :
nid ouaté et duveteux.
Le chant d’un rire
dans la rage de l’orage...
Courses et cabrioles
pieds nus sur les pâquerettes
dans mes robes de petite fille...
Un livre où se rassemblent
les papillons des souvenirs....
Une plage...
où les comètes échouées
ont laissé en souvenir
des contes de l’espace...
Une terrasse de bois blanc
d’où les étoiles sont plus proches,
un soir sur lequel tombent
des pétales de chaleur,
d’où s’évadent et s’envolent
nos têtes comme des ballons
vers d’autres espérances
où l’on revient toujours,
un ciel que l’on regrette
quand on part en voyage...
Une odeur familière
qui règne sur les affaires,
fragrance d’il y a longtemps
lovée au creux des livres,
dans les plis d’un tissu...
Des milliers d’instants,
minuscules et multiples,
comme des éclats de vent,
les pétales d’une fleur
éparpillés autour d’un cœur de miel
à saveur de pollen...
Un noyau d’immuable,
bulle d’immensité,
qu’on sème et qu’on emporte
sur les sentiers vieillis
par le pas des mémoires
et les lambeaux de vent...
Marie – 2de A
Mon enfer
Les griffures rayent les armures.
En ces lieux où la brume est omniprésente,
où des hurlements déchirent la nuit,
se trouve une maison rougeoyante,
de la couleur de l'enfer.
C'est une maison remplie d'âmes
se battant avec des lames...
C'est un lieu de haine et de châtiment, un lieu brutal,
où les blessures sont soignées avec du sel,
que les vautours déchirent avec leur bec.
C'est une maison de martyrs,
que les bourreaux assassinent impunément.
Dans la maison de Lucifer,
on trouve toutes les créatures que l'on redoute.
Les harpies sont ici chez elles.
Les griffures rayent les armures...
Thibault - 2B
Un effort pour toit
Coeur en ruine Trente ans après
Je marche J’faisais cuire un jarret
Seule dans la bruine J’regarde par la f’nêtre
Un oiseau dans son nid
Un excès de rage Perché sur un hêtre
Le ciel enrage
Même Louis Pasteur J’y r’pense
En aurait peur Me remplissant la panse
Je ne l’oublierai jamais
Je me suis fourvoyée Aucun remords
A ton sujet Même pas ta mort
M’a dit l’curé
L’oiseau me regarde
Tu m’aimais je l’ croyais Du haut de la mansarde
J’en suis médusée Ses yeux noirs me sondent
Comme un radeau Le ciel gronde
J’prends l’eau
Les souvenirs s’effacent
Tu m’l’as dit Coulent de ma mémoire
Qu’je suis une truie Comme d’un arrosoir
Tu t’es payé ma tronche L’alcool s’évapore
C’est pour ça que je plonge Seul reste
Le souvenir de ta mort
Où
Tu t’en fous Rien que ce souvenir
Aujourd’hui je suis seule dans la vie Provoque mon bien-être
Au loin j’te vois tu ris Repose en paix
Mais n’oublie jamais
Mon coeur se déchire Que je reviendrai.
Quand j’écoute ton rire
Tu m’as froissée Hélène- 2nde A
Tu vas m’le payer
Maisons du monde
Cachée dans ce monde vert et gris
Tu choisis le vert baobab
Même ici il y a du gris
La savane est détruite
A coup de fer sur cette terre
Un éléphant gît
L’ivoire a disparu
Les hyènes sont apparues
Rôdent comme les vautours
Dans la cendre elles bondissent
Une lumière rouge
Une odeur crépitante
C’est l’ennemi tant redouté Emeline
Ici s’achèvera le voyage. 2nde A
La maison de miel
Maison près d’un champ de mirabelles,
Les abeilles, disciplinées, l’inspectent.
La reine, réveillée par cette danse,
Est tirée de son plus profond sommeil,
Elle qui veille sur cet empire, paresseusement
La ruche bourdonne de rires et de joie.
Le calme de la campagne est d’une qualité rare.
Les ouvrières se préparent à s’envoler
Vers leur quête quotidienne
Elles sont là, aussi intangibles que des ombres,
A la recherche de sources de miel
Et dénichent une oasis en plein désert
Dont le parfum, si raffiné, ne peut être oublié.
De retour à la maison, émerveillées par leur butin,
En file indienne, elles déposent leur trésor.
Toutes encore essoufflées de leurs voyages
Et fatiguées de leurs aventures,
Elles retournent dans leurs alcôves.
Nicolas – 2B
La forteresse en épines
Publié le 31 Mai 2008
La maison faite d’écorce
La maison faite en écorce de hêtre
N’est pas très grande, mais très joyeuse.
Pour moi, cette maison est le symbole du cocon familial.
Sa couleur plutôt foncée
Montre la sève de l’arbre mort à jamais.
Sa forme, qui ne ressemble à aucune autre,
Est propre à elle-même et facilement reconnaissable.
Son odeur si particulière
Inspire la joie de vivre à quiconque y entre.
Son intérieur d’une beauté rare
Révèle l’amour qu’il a fallu donner pour la fabriquer.
Lorsque la maison laisse entrer le soleil,
Sa clarté intérieure
Redonne la joie de vivre aux plus désespérés
Et aux autres un sentiment de gaîté pour la journée.
Stephen – 2B
La maison en larme de cristal
De la transparence à pleins poumons
Tu t’enfonces seul,
Dans cette maison en larme de cristal,
L’eau magique y est souveraine
Sur la rivière de la nuit,
Tu files sans bruit
Et tu t’agrippes ardemment à la rive,
Les flots te rejettent,
Et tes larmes roulent en billes sur tes joues.
Tu te trouves un lieu
Dans cette maison en larme de cristal
Où le dessein fait la vie,
Ton monde ne s’écoule plus,
Figeant un amour que tu désirais
Dans le fond cristallin de la baignoire.
Tes plus grandes haines explosent dans un « dégueulis » de paroles
Et tu vagabondes dans cette maison en larme de cristal
Perdu dans les étoiles éparses,
Où les mots et les maux n’existent plus.
Jérémiah 2nde A
La maison en pierre
La maison près de la berge
Reposait sur les rochers que la mer
Avait déposés il y a de cela quelques années déjà.
Les vagues qui s’écrasaient sur les rochers devant la maison
Faisaient ressentir une émotion, si forte qu’elle atteignait son paroxysme.
Les enfants batifolaient sur la sente
Bordée d’un somptueux parapet.
Une énorme vague vint percuter les murs de la maison en pierres taillées
Détruisit la maison et emporta les enfants.
Jimmy – 2B
La maison en aiguille
Si j’étais triste, je partirais
Dans une maison faite de miroirs qui
Refléteraient la lumière de l’espoir.
La lumière de l’espoir rend
Cette maison brillante comme l’inox.
L’inox donne à la construction de fil de fer
Un air vieilli comme si elle était ridée.
Les rides de la maison forment
Des fentes entre les aiguillons
Qui, quand on les regarde, nous semblent
Ne jamais se finir.
Ces fentes sont si profondes
Que, quand
On les observe,
On a l’impression d’entrer dedans.
Les jours de beau temps
Que quelques petites pointes de fer
Semblent apparaître devant nous.
Ces petites pointes s’illuminent
Qu’elles éblouissent nos yeux
Avec leur éclat si parfait au soleil.
Ma maison est une aiguille
Argentée,
Composée de copeaux de métal.
Elle est unique en sa matière.
La Maison en forme de cercueil
- Ma Maison en métal est aussi froide que la glace,
Aussi rigide qu'un homme de glace.
Ma vie est aussi rude que l'ascension de l'Himalaya.
- Ma Maison est aussi abandonnée que Jules César avant sa mort.
Le bonheur m'est infidèle,
Le malheur et la tristesse sont mes plus grands compagnons,
Mon existence est une bataille que le diable ne peut perdre.
- Ma Maison est aussi lugubre qu'un enterrement
Où chaque mot peut être interprété comme une déclaration de guerre.
- Ma Maison a une couleur rouge sang, des barreaux aussi rigides
Qu'un bloc de marbre et aussi lourds qu'une tonne de plomb.
Dans ce bâtiment tu demandes la mort,
Car cette geôle représente tes erreurs et tes torts...
ANTHONY - 2B
La maison en fil de fer
La maison de verre
La maison de verre ne se mêle pas aux autres,
Pourtant elles est aussi invisible
Que la feuille de l’arbre en hiver.
Elle est fragile,
Mais ne sera jamais cet amas de cendres
Laissé par le bois après les flammes.
La maison de verre ne laisse aucune intimité.
Malgré cela, on s’y sent caché
Derrière des murs épais.
Elle n’est qu’un mirage aux yeux des hommes,
Mais elle reflète ce que nous sommes.
La maison de verre est unique
Sa transparence la distingue de toutes les autres.
Ses parois lisses
Laissent couler les fines larmes de pluie
En y reflétant la lumière aveuglante du soleil.
La maison de verre est comme une eau gelée
Sur laquelle il serait impossible de glisser.
Elle ne laisse transparaître
Que les êtres qui voudraient y habiter.
Guillaume 2B
Publié le 31 Mai 2008
Exposition des travaux au C.D.I.
Fin de l'année scolaire : les travaux des élèves sont exposés au C.D.I. C'est l'occasion pour chaque classe de découvrir le travail de l'autre.
Dire les textes...
Dans le même temps, les élèves ont lu ou dit quelques textes. Après avoir découvert les Brigades d'Intervention Poétique et entendu Linda Maria Baros lire ses poèmes, ils ont pu à leur tour s'exprimer oralement.